28.2.2018
«Muni d’une liste de quatre ou cinq modèles de chaussures, je me rends dans un magasin de sport pour les essayer avant d’acheter. Le magasin n’ayant qu’une seule paire, je fais savoir au vendeur que j’aimerais en essayer d’autres et que je vais me rendre dans d’autres enseignes avant de me décider. C’est là qu’il me rétorque que je dois m’acquitter de la somme de 40 francs sous forme de bon pour le conseil, vu que je n’ai rien acheté. Qu’en est-il?» Jocelyn R.
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FRC | Si aucune information concernant cette pratique payante n’était accessible et visible à l’entrée du magasin ou ailleurs dans celui-ci, ce montant ne pouvait pas vous être facturé, faute d’en avoir été préalablement informé. En revanche, si l’information était bien visible, le commerçant aurait été en droit de vous facturer ledit montant. On peut comprendre l’agacement des petits commerçants à voir des gens venir essayer des paires en magasin pour ensuite les acheter sur internet à moindre prix, mais il n’en reste pas moins que le client doit savoir à quoi il s’expose lorsqu’il entre dans un magasin. Le client n’est plus le roi qu’il était autrefois.


