26.2.2015, N.B. / Les coûts de la santé resteront une priorité en 2015. Shutterstock / Dmitry Kalinovsky
Service public, santé, franc fort: la FRC salue l'action du Surveillant des prix sur des domaines-clés pour les consommateurs.
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Monsieur Prix tenait aujourd’hui sa conférence de presse annuelle. Au menu, le bilan de 2014 et les grandes lignes de 2015.
En 2014, le Surveillant des prix a traité 1853 contestations de prix émanant du public, les questions de santé en tête (13%), parvenant également à plusieurs accords avec la Poste, l’Union de transports publics (UTP) et l’industrie gazière. « Nous constatons avec satisfaction que Monsieur Prix utilise avec succès toute la marge de manœuvre qui est la sienne dans deux domaines qui sont des sujets de préoccupations majeurs pour les consommateurs : les services publics et la santé, relève Mathieu Fleury, Secrétaire général de la FRC. Il agit notamment comme un aiguillon indispensable pour soutenir les efforts du Conseiller fédéral Alain Berset pour baisser les coûts de la santé. »
2015 dans la continuité
Services publics et santé resteront les priorités du Surveillant des prix en 2015, année placée notamment sous le signe des prix influencés par les autorités publiques.
L’endémique îlot de cherté et bien sûr le franc fort seront également des gros thèmes. Le communiqué de Monsieur Prix note d’ailleurs que la répercussion des avantages de change liés au franc fort est « meilleure qu’en 2011, où les baisses de prix s’étaient fait attendre durant des mois ». Un constat positif que partage la FRC.
Dans ce contexte, le Surveillant des prix entend aussi se concentrer sur les « facteurs de coûts et les prestations intermédiaires des industries d’exportation et du tourisme », afin d’assurer la compétitivité helvétique. « Nous saluons ces efforts pour agir sur des coûts comme l’électricité, le gaz et l’eau, et en atténuer l’impact sur le niveau des prix finaux en Suisse », note Mathieu Fleury, qui ajoute: « Nous partageons sa conviction qu’une loi sur les cartels plus incisive constituerait la meilleure arme législative pour lutter contre l’îlot de cherté ».



